Le Linceul de Turin

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La formation de l'image.

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L'énigme qui est sans aucun doute la plus controversée et qui a fait la réputation du Saint Suaire, c’est la question qui porte sur le phénomène qui a rendu possible l'apparition de l'image que l'on voit sur ce linge.

De Sébastien Cataldo, le 23 janvier 2017

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Avec ces livres, vous allez connaître toutes les bases des études sur :

- Le Tome 1 – Les évangiles, vous pourrez lire une synthèse théologique couvrant l’analyse des quatre évangiles au regard de leur correspondance possible avec le linceul de Turin… qu’il soit authentique ou non.

- Le Tome 2 - L’histoire, vous allez savoir si ce linceul peut être historiquement daté du Ier siècle.

- Le Tome 3 - la médecine, vous découvrirez ce que les médecins légistes ont déclaré quand ils ont examiné les blessures de l’homme du linceul.

- Le Tome 4 - la science, vous aurez toutes les connaissances requises pour comprendre les découvertes scientifiques les plus importantes et la controverse de la datation au carbone 14.

 

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Sommaire :

1 - Les hypothèses

2 - Le miracle de premier ordre

3 - le miracle de deuxième ordre

4 - Un phénomène naturel

5 - Un faux

6 - Les propriétés de la coloration de l'image

Quelles sont les principales catégories d’hypothèses ?

Pour les trois premières catégories, le point commun de départ est que le linceul est bel et bien l’authentique linge mortuaire de Jésus-Christ.

Première catégorie : « le miracle du premier ordre »

La Résurrection est seule capable d’expliquer le mystère de l’image et celle-ci prouve celle-là.

C’est la résurrection de Jésus de Nazareth qui aurait laissé « l'empreinte du corps » et toutes les caractéristiques de l’image que l'on connaît actuellement. 

L’image résulterait indirectement de la « dématérialisation » du corps de Jésus, celle-ci ayant entraîné un phénomène physique qui serait à l’origine de l’image. Différents phénomènes physiques, le plus souvent des radiations de différents types ont été étudiés. Les plus « intransigeants » de ces chercheurs vont jusqu’à dire que le linceul « prouverait » la résurrection. En dehors des problèmes théologiques posés par une telle assertion, il est clair que jamais la science ne pourra prouver la résurrection. Elle est clairement hors de son domaine. Au mieux, la science peut dire : « en l’état actuel des connaissances, l’image est inexpliquée par les processus naturels connus » ce qui ne veut pas dire qu’elle est inexplicable définitivement et encore moins qu’un phénomène surnaturel est en jeu. La science s’est précisément construite en opposition avec ce type de raisonnement.

Deuxième catégorie : le « miracle de deuxième ordre »

Pour d'autres, l'image n'est pas due à la résurrection, mais serait due à un processus naturel tout à fait exceptionnel. C’est le cas par exemple des tenants de l’hypothèse de la décharge d’électricité électrostatique (« Corona discharge ») qui semble en effet expliquer beaucoup des caractéristiques de l’image. Mais un tel phénomène suppose des conditions tellement exceptionnelles qu’elles relèveraient presque du miracle.

Troisième catégorie : un phénomène naturel

L’image résulterait d’un phénomène naturel (phénomène de Maillard entre les gaz émis par le cadavre et certains constituants du linceul, réaction entre la sueur et le linceul sensibilisé par divers produits, etc…). 

Pour les partisans du phénomène naturel (Ray Rogers en tête), il n’y a pas de miracle et l’origine de l’image doit être cherchée dans une cause rationnelle, une réaction chimique naturelle. N’importe quel corps, dans les mêmes conditions (qui restent à trouver) est susceptible de donner le même type de réaction et d’image. Ces conditions en elles-mêmes n’ont rien d’extraordinaire et doivent être recherchées dans les coutumes de l’époque et du lieu et la composition chimique de surface du lin résultant des méthodes de fabrication antiques et des conditions du corps résultant de la crucifixion. Une objection légitime souvent faite à ce type d’explication consiste à demander pourquoi, dans ces conditions, aucun autre linge mortuaire connu ne porte une telle « empreinte ». La réponse avancée est que la décomposition complète d’un corps, par les produits de celle-ci, induit la disparition d’une éventuelle image pré-existante d’une part et que d’autre part la quasi-totalité des linceuls antiques que nous avons proviennent des momies égyptiennes qui utilisaient des méthodes de fabrication et de blanchiment du lin (natron) empêchant toute formation d’une empreinte équivalente. Simplement, si l’on peut dire, le cas du linceul du Christ est unique en ce sens que trois événements successifs ont eu lieu dont la probabilité globale pour tout autre linge mortuaire est quasi-nulle :

Méthodes de fabrication du linge et coutumes d’ensevelissement créant les conditions favorables à certaines réactions chimiques au contact du corps à l’origine de l’image (qui a pu se développer d’ailleurs très lentement sur des années).

Retrait ou disparition du corps avant la putréfaction (soit environ 30 à 40 heures après le décès).

Conservation du tissu dans d’excellentes conditions pour des raisons religieuses tout au long de son histoire.

Chacune de ces conditions est indispensable à la formation et à la conservation de l’image et la probabilité globale théorique est très faible sauf, précisément, dans le cas du linceul du Christ.

L’essentiel est de bien voir que ce type d’explication reste strictement dans le cas de la science en ne faisant appel qu’à des phénomènes chimiques bien connus par ailleurs et à des hypothèses historiques défendables. Chaque étape est potentiellement et théoriquement testable. C’est la voie ouverte par Paul Vignon au début du xxe siècle avec la théorie de la vaporographie et poursuivie depuis avec de multiple variantes jusqu’à Ray Rogers très récemment.

Ici le croyant pourra y lire un signe de la Providence pour notre temps sans forcément y voir un lien direct avec la Résurrection alors que le non-croyant y verra un objet archéologique unique, éventuellement source de questionnements.

Quatrième catégorie : le linceul est tout simplement un faux

Fait par un génial inventeur qui n'aurait fait qu'un seul exemplaire sans que ni sa technique ni son identité soient connues. Dans cette catégorie, les tenants, de plus en plus rares, de la simple peinture (Mc Crone) côtoient ceux qui, prenant en compte certains résultats des études scientifiques, essaient, sans succès jusqu’ici, de trouver une technique disponible au Moyen Âge, expliquant les observations (bas-relief, chauffage, proto-photographie, etc.). Il est intéressant de noter que dans cette dernière catégorie, les chercheurs prennent en compte l’impossibilité évidente pour l’inventeur du Moyen Âge, aussi génial soit-il, de créer volontairement une image ayant des propriétés extraordinaires décelables uniquement au XXe siècle. Ces propriétés (négatif parfait, tri-dimensionnalité en particulier) seraient alors des conséquences involontaires de la technique utilisée.

Quelles que soient les hypothèses sur la formation de l’image, elles doivent être compatibles avec les propriétés optiques acceptées de façon consensuelles par les scientifiques.

Pour ce qui concerne les propriétés chimiques de la coloration

Nous avons vu qu’elles ne faisaient pas consensus. Si l’on pense, comme Walter Mc Crone et la plupart des « sceptiques militants » qu’il s’agit simplement d’une peinture, alors le faux est une évidence et il reste à trouver quelle méthode a été utilisée pour rendre compte des propriétés optiques très spéciales de l’image.

Si on admet le contraire, on suit les conclusions unanimes des nombreux chercheurs du STURP qui ont eu accès au linceul lui-même à savoir que la coloration ne résulte d’aucune substance ajoutée, peinture, teinture ou autre. Alors il reste à trouver quel phénomène a pu créer l’oxydation-déshydratation de surface des fibres.

 

L’image est une création humaine volontaire.

C’est bien entendu la seule possibilité si l’on pense qu’il s’agit d’une fausse relique datant du Moyen Âge comme semblait l’indiquer la datation au carbone 14.

Dans ce cadre, nous allons maintenant étudier quelques-unes des techniques les plus connues qui tentent de prouver une intervention humaine ou naturelle.

 

Le détail des études faites sur les différentes hypothèses de la fabrication de l'image sont dans le chapitre sur la formation de l'image du livre sur le linceul de Turin disponible en version ebook et en version papier :

 

1ère méthode : Le transfert de poudre

2e méthode : La théorie de la protophotographie

3e méthode : Le chauffage par contact

4e méthode : La théorie de l'ombre portée

5e méthode : Le bas-relief

6e méthode : La réaction de Maillard

7e méthode : Les théories des radiations

Pour aller encore plus loin...

Les dernières découvertes sur le linceul de Turin

Le Linceul de Turin, les dernières découvertes qui pourraient tout changer. Version 2022

 

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LE livre qui est devenu rapidement une référence dans le monde du linceul.

Comment comprendre les contradictions qui existent entre une centaine d'année d'études qui toutes convergent vers un seul homme, Jésus de Nazareth, et le résultat du carbone 14 qui évalue la date du tissage du linceul entre 1260 et 1390 ap. J.-C. ? Récemment, la science a fait une découverte qui a tout simplement changé la donne et pourrait changer l'histoire du linceul. Ce livre aborde de manière claire, précise et objective les deux questions que tout le monde se pose : le linceul de Turin pourrait-il être finalement le linceul du Christ ? Que nous dit l'image fantomatique qui y est inscrite : phénomère naturel, faux ou résurrection ?

 

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Le Linceul de Turin - "Du mythe du suaire du Christ à la vérité historique"

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Des origines du christianisme au récit des légendes.

Derrière ce titre un brin provocateur se cache l'étude historique la plus complète à ce jour sur le saint suaire de Turin et son histoire ancienne.

Prenant comme point de départ, la légende du roi Abgar qui reçu de l’un des 70 apôtres le suaire de Jésus où était imprimé sa sainte Face, cette étude fait le point sur les différentes « Églises » des premiers siècles, et l’évolution de cette légende au fil des siècles dans la région d’Édesse et de Constantinople jusqu’à la IVe croisade.

Du suaire de Jésus au linceul de Turin ?

Des reliques du Christ, aux batailles théologiques des premiers temps de l’église, jusqu’au récit des pèlerins sur les trésors fabuleux de Constantinople, découvrez à travers un texte passionnant et extrêmement fouillé si le linceul de Turin peut être qualifié de 5e évangile, celui de la Passion !

 

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Les liens vers les autres dossiers scientifiques :

- Les caractéristiques de l'image et du tissu

- L'échantillon pour une datation

- La formation de l'image

- La 3D

- L'image est-elle une brûlure ?

- Le tissu

- Des lettres phantômes ?

- Une image, une peinture ?

 A propos du site

Le linceul de Turin ou Saint Suaire est un objet archéologique fascinant, qu’il soit un vrai linceul ayant recouvert le corps de Jésus de Nazareth ou qu’il ait été créé par l’homme pour représenter la Passion et la mort du Christ. Mais comme toutes les « reliques », ce tissu et cette image opposent les croyants que les sceptiques. Ce site, les conférences et les livres qui sont proposés par l’auteur sont là pour faire la différence entre croyance et science, démêler le vrai du faux et dépassionner les débats en ne proposant que l’approche scientifique du sujet. Même s’il est possible de faire de ce linge le rapprochement avec le linceul du Christ pour un croyant, il n’en reste pas moins que c’est la science et l’histoire qui pourront confirmer ou non l’authenticité du linceul de Turin. Enfin, même si la science continue d’affirmer que ce linceul n’est pas celui de Jésus de Nazareth, car il ne faut pas oublier qu’il peut toujours s’agir d’un « vrai » linceul ayant contenu le corps ensanglanté d’un homme quelque soit son époque, il n’en reste pas moins que l’étude de son histoire et le mode de « fabrication » de son image restent des recherches passionnantes et constituent l’essentiel des propos de l’auteur. Quelle que soit l’issue de cette « histoire », l’auteur proposera d’étudier ce linceul comme tout autre objet archéologique d’un point de vue historique et scientifique pour comprendre comment il a été « fabriqué ».

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